Expérience pratique

Dans la mécanique quantique, ton chat a une existence ondulatoire.

Il existe un peu partout avec une probabilité de présence centrée sur sa personne et qui diminue en s'éloignant.

Mais si tu lui file un coup de massue tu lui conserve sa masse (c'est le cas de le dire) mais tu modifies la répartition de sa probabilité de présence dans l'univers.

Au lieu d'être assis sur le bord de la fenêtre, ton chat est "probablement" un peu partout dans la piéce.

Seul les vrai trolls comprennent vraiment la mécanique quantique...

Bon on dérive du sujet, je retourne faire la sieste.

Gorakiki, gout de passage, probablement

Pour revenir sur ton sujet.

Deux semaines avant ton accident, je suis passé à coté d'un camion chargé de palette.

Un fenwick était sur un coté et essayé d'attraper les palettes avec difficulté (pattes trop courte). Je passais sur le trottoir de l'autre coté du camion.

Je me suis méfié et je suis passé en vitesse derriere le camion. J'avais pas fais 10 métres que les pallettes se renversaient sur le trottoir.

Les Fenwick ne sont pas vos amis. Ils veulent éliminer l'espece humaine pour controler la terre. C'est un complot .

Gorakiki, gout fenwick-proof

Pour ceux qui ne la connaise pas :

Le chauffeur a du (sur)vivre un grand moment.

Gorakiki, gout staying aliiiiIIIiiive

Quote: Originally posted by Gorakiki on 2005-07-20 20:36:23

Quote: Originally posted by Bork on 2005-07-17 21:43:40
La théorie du chaos ...
Pour faire simple. Tu fais deux fois la même expérience avec les mêmes conditions initiales et tu trouves des résultats complement differents.

Cela concerne des phénoménes à certains moments (pas tout le temps) un petit rien peut faire basculer tout de facon irremediable.

Exemple tu marches sur la crete d'une montagne et tu fermes les yeux et tu tournes sur toi même pendant 10 minutes (ou tu suis un papillon). En faisant la même chose deux fois de suite tu peux te retrouver à des cotés opposés de la montagne (si tu te prends un avion dans la tête au passage,, c'est l'effet tunnel ). l'écart initial est infime par rapport à l'effort que cela te coute pour retourner de l'autre coté de la montagne.

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Marcher sur la crète d'une montage surplombant 2 falaises: L'exemple est très bon. L'effort que tu as consenti pour basculer dans le vide est négligeable par rapport à celui à entreprendre pour remonter. D'ailleurs le plus difficle n'étant pas de remonter en soi, mais bien d'aller rechercher ta jambe qui est tombée 50 mètres plus bas.