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Subject Les Aventures Extraordinaires de Le Moyz
[Pages : 1, 2]

#. Message de MoysylnOeil le 15-11-2011 à 12:04
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
CHAPITRE 14 - Ou l'art de la prestigi...presgidi...presspuréti... De la magie de la disparition....


Y sont ou??? Non mais y sont ou??? allez!!!!! alezalezlalez... YSSON'OU!!!!!!!

Le Moyz regardait Chewing courir dans tout les sens en éructant, grimpant de tout coté et accessoirement sur tout ce qui bougeait... enfin, il essayait. Cémoi lui avait déjà collé une baffe, Sentenced avait tenté de le bouffer, Lindt lui avait fait part de son mécontentement d'un coup de latte suffisamment bien placé pour qu'il parle maintenant dans les aigus et Le Moyz avait tenté de lui faire connaitre les joies de la physique expérimentale en lui collant son cigare entre les deux yeux.
En était résultée une vague odeur de cochon grillé et une atténuation de sens réel augmentant proportionnellement les gargarismes de son gosier.
La physique, c'était pas son truc...

Ils étaient arrivés sur le ring le jour d'avant.
Le passage au vestiaire avait été...compliqué. Et ce dès l'arrivée.
Le Moyz n'avait pas tout suivi, mais il semblait qu'une profonde animosité ce soit faite sentir suite à la disparition de l'ensemble des portes de toilettes du vestiaire.
De cette malheureuse disparition résultait un simple indice, un bouton de portes mâchouillé, qui laissait envisager, avec un haussement d'épaule caractéristique de Sentenced doublé d'un "Bin quoi???" emprunt d'innocence, que l'on ne les retrouveraient pas facilement.
Et a fortiori pas dans leur état original.
Tout cela n'aurait pas porté plus préjudice si cette action n'avait été faites alors que quelques malheureux qui tentaient de soulager leur conscience en cherchant du papier toilette ne s'étaient retrouvé en public une fois leur faconde papieresque débusquée.
Cette brutale ingestion avait fait renaitre des souvenirs ennuyeux. Dantag Jr en était donc encore à se rouler par terre en gargaratisant "Mon préciiiiieux....Mooooooon préééééééciiiiiieux...."   a tout bout de champs.
Les Bourre-Stones ne restèrent pas longtemps dans le coin.
Sentant le vent tourné ( ou alors était ce l'absence de portes sur les chiottes...) Godrage colla son string sur la face de Sentenced, l'assommant au passage d'un coup de boule tendrement amical, se la carra sur l'épaule et parti au petit trot de grandes enjambées rapide vers la catapulte amenant au ring.
Le reste de l'équipe suivi aussi, âprement soutenu par une foule en délire.
Sauf que Le Moyz ne comprenait pourquoi ils hurlaient ainsi de leur laisser la trollette. Certain parlait même de se faire des bretelles avec ses tripes et des calebasses avec ses...euuuh... avec des trucs.
Le Moyz aimait la foule en délire. Normal pensait il. Il était Le Moyz, les foules en délires était pour lui...
Mais là, bon... C'était trop...
Il avait d'ailleurs vu TTV tenter de lui tirer laconiquement un de ses tonnelets...
Arf!!!! Mais en plus il y était arrivé!!! Il lui en manquait un...
L'aubergiste Rouge avait une fâcheuse tendance à la saouler ces derniers temps... Ce qui n'était pas évident en se faisant piquer son nectar, son délice, le petit plaisir de ses moments de solitude, la crème de la crème du café de sa crème...

Les BourreStones allait affronter l'Armée des Sextrolls...
Un bien joli nom qui expliquait l'état excitativement cramoisi (ou cramoisivement excité) de CG, l'état extatique de Sentenced, les petits sifflotement innocent de Cémoi et Lindt, et le polissage de ce que GodRage appelait maintenant son Braquemart de kombat.
Sur lequel il venait de graver " Si tu l'vois plus, c'est qu'tu l'as dans l'c..."
La poésie de GR laissait Le Moyz hémiplégiquement intéressé... Ceci dit, il y en avait bien une qui tenait, manifestement, à essayer l'engin tout de suite...

Bref, ils attendaient...
Encore...
L'heure arrivait, mais pas l'adversaire
Le Moyz en était à la dégustation de son troisième tonnelet de Dj'ack D'Anield's (Magik Inside), dans un état profond de réflexion paraplégique...

Sentenced:      Y vont pas venir... y sont pas là...
GR:                    Tu veux pas me rendre mon Braquemart de Kombat? Dis...
CG:                     Yep... Pas là et c'est l'heure... pas normal... Il est ou ton Braque?
GR:                    Elle est assise dessus...

Tout le monde se retourna vers une Sentenced qui affichait, encore, une sourire d'une jovialité toute pleine d'entrain. Chacun pensait à la taille de l'arme du GR, et se demandait par quelle magie elle avait pu le faire disparaitre...

LM:                     Hum? j'vois pas ou. Bref... On fait quoi?
Lindt:                 Chai pas, et moi, j'm';.. Je m'en tape le coquillard avec une omoplate  gauche de baleine...
Cémoi:              Tu recommences, et je t'en colle une...
Lindt:                  maiiiiiiheuuuuuu... j'ai pas dit j'm'en f...

PLOOOOOOOOOTCH       
               
                             ouuuuuuuuuuuhouuuuuuh... ah bah non... pas bobo...
GR:                      Merdum... J'ai raté mon coup???
CG                       Attends voir... Lindt??? Viens ici...

PLOOOOOOOOOTCH       

LM:                       Bah alors??? Attends, Le Moyz essaie... Bouge pas Lindt...

PLOOOOOOOOOTCH       

Lindt:                    Mouhahahahaha!!!! MÊME PAS MAL!!!!!
CG:                       Comprend pas là...
GR:                        Il se passe un truc bizarre... Ou alors... Il se passe un truc bizarre.
Sentenced:          C'est moi l'chef hein? C'est moi qui dit quand il se passe un truc bizarre... Moyz? C'est bizarre non?
LM:                         Manifestement nous traversons une tranche de temps relativiste indexé à la spatialitude intrinsèque de Lindt. Il est là sans être là tout en étant dans le coin. C'est une turpiditude D'Jackotemporelle.
Tous:                       Une quoi?????
LM:                         une turpitude D'Jackotemporelle... ca consiste en la présence de minuscules particules d'antiD'Jack présent dans l'atmosphère, ce qui créé de petite échange de magie énergétique entre les éléments du verre du Moyz. Assujetti au relativisme indéxé de Lindt, et à l'excitation cigaresque de CG, le transfert s'est fait et a engendré des minis Carmines dans la réalité. C'est une fracture spécomentheàl'eau.
Très rare...

PLOOOOOOOOOTCH    

Sentenced:              Bin quoi???
GR:                            Et c'est dangereux...
LM:                             Très... on pourrait tous devenir sobres...

PLOOOOOOOOOTCH    

LM:                              AAAAAAH!!!! Mais z'êtes fous!!???
GR:                             Euhnon... C'est moi là, je récupérais mon Braquemart de Kombat chez Sentenced... Sauf que maintenant, bah, je le trouve... Gluant... Et moins maniable...

PLOOOOOOOOOTCH    

Cémoi:                       C'est bizarre quand même...
Lindt:                           Euuuuh, d'un autre coté, y fait noir, hein? Ce serait bien si on allumait un ti feu... Ou un truc du genre...

Ah oui... Effectivement... Il faisait très noir... L'empressement du groupe leur avait fait oublier l'heure. Ils z'avaient coutumes de palabrer dans le noir. Ce qui permettait à certains de ne pas voir leurs interlocuteurs, ce qui était toujours appréciable lorsque certaines déjeunait dans le même temps.
Le Moyz alluma une bougie d'un projo...

Euuuuuh, Ca aussi c'est bizarre???

Sentenced ouvrait grand ses yeux de biches en montrant de vagues flaques noirâtres trainant à la surface de la caverne...

Cela ressemblait furieusement à des cadavres... Sauf peut être le petit dans le fond qui avait tendance à gémir... Juste avant que GR n'étouffe le son d'un coup de Braquemart...

Ah!!!!! Tu vois!!!! il fonctionne encore...

Ce qui n'était plus le cas de l'Armée des Sextrolls...

#. Message de MoysylnOeil le 20-12-2011 à 09:00
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
CHAPITRE 15 - Diviser pour mieux se faire tauler.

En face, il n'y avait rien de bien méchant... Du gros, du lourd, du vilain (et de la vilaine en la personne de Seira.
Bref, rien d'effrayant à coté d'une Sentenced affamée et un Cémoi tellement zen qu'il s'en était mis à ronfler...
Quand au Moyz, il n'arrivait à se décider sur les recettes de son futur best seller "Les 1001 façon de cuisiner flambé au D'Jack D'Anield's (Magik Inside). Ou 1001 façon de suicider son prochain" avec une préface de Raspoutine et une couverture 100% vrais morceaux de Dantag Jr... Enfin, d'après le type qui les lui avait offert "par altruisme pour le Hall" qu'il disait.
Et si c'est pas du vrai, j'me tranche la gorge !!!!!! Avait il rajouté sur la fin...
Le Moyz voyait là comme un air de déjà entendu...

Parce que, oui, il faut le préciser, Le Moyz cuisinait parfois. Pas souvent, mais cela arrivait.
Mais il faisait dans le banquet genre gala pour le Hall. Hormis cette fameuse fois ou, par inadvertance de bonne volonté, il avait tenter de la déamonite flambée sur les bords de Carmine - qu'il en manquait encore un gros morceau de Hall - Le Moyz avait plutôt tendance à réussir ces opérations culinaires.
Oui, opération est bien le terme adéquate.
Déjà parce que c'était une véritable organisation que de trouver suffisamment de condiments et de récipients propres à accueillir quelques litres de Djack D'Anield's (Magik Inside) sans forcent soit s'évaporer, soit fondre. Mais en plus il fallait tenter de faire ça discrètement sans qu'une guilde ou une autre ne se jette sur lui pour l’empêcher d'apporter la bonne parole culinaire à son prochain...
A la décharge de ceux-ci, Le Moyz en avait parfaitement conscience, un certain nombre d'opérations malheureusement gustativement déplorables avaient été vécues. Ou tout le monde ne fut pas forcement rassasiés.
Par contre, quelques nécromants furent ravi de voir que certains produits censément inoffensifs avaient la fâcheuse habitude, une fois mélangé au nectar divin du Moyz, de réveiller tout ce qui était normalement mort dans une dizaine de cavernes alentours.
Et encore, si seulement ils se contentaient de se faire réveiller, tout irait bien... Un ti coup de latte sur le coin de la boite à maroufle, et HOP!!!! retour case dodo éternel.
Mais non...
Ils se réveillaient et avaient comme une violente envie de faire de gros calins calinounesquement prenant à toute personne à peu près pas trop morte dans le coin.
Le Moyz voyait deux options à cela:
- Soit ils avaient faims, ce que Le Moyz ne pouvait comprendre puisqu'ils venaient de se réveiller en ingurgitant malencontreusement ses tentatives culinaires.
- Soit ils avaient une violente envie de ne pas recommencer l'expérience et étaient très désireux de retourner à leur état léthargiquement pas frais. Et là Le Moyz était contrarié qu'ils n'apprécient pas les mets qu'il leur servait.
bref, dans un cas comme dans l'autre, la ferveur culinaire du Moyz s'en trouvait toute déçue.
Le Moyz avait donc fini par se décider à écrire un guide culinaire à l'usage des nécromants teigneux et des amateurs de Djack désireux de trouver une autre utilité (Une de plus direz vous que celles déjà existantes, nous en reparlerons un jour) au divin breuvage.

Donc, pour en revenir au sujet, Le Moyz bouquinait. L'équipe, scindé en deux pour la suite de cette promenade de santé qu'était la MB, avait réuni ces meilleurs éléments pour mener un combat rapide, efficace, et rapide...
Le Moyz se demandait d'ailleurs comment cela se passait pour eux sur l'autre ring...

Le Moyz leva un œil de son livre... Certaines langues malsaines diraient que Le Moyz ne savait pas lire... Et elles auraient raison...Mais Le Moyz faisait 'achement bien semblant... Question de classe, bien sur...
Sentenced ne râlait plus et Cémoi avait fini de ronfler...
Donc soit Sentenced avait bouffé Cémoi, et l'option était envisageable... Soit cela bougeait en face.
Et comme Cémoi était toujours à coté du Moyz, il en conclu que le combat avait commencé... Enfin, un peu... Pas beaucoup...
Les vils adversaires avaient une tendance à bouger doucement. Rapport aux glues surement...
Ce match allait être terriblement chi...tactique, manifestement.

Pronostic qui se vérifia au bout du deuxième jour ou, courant d'un niveau à l'autre pour garder la forme et travailler leur physique de rêve, les BourreStones n'avaient toujours pas pris un seul coup. Et n'en avait pas donné non plus, hein?
Le fairplay étant de mise chez les BS, l'adversaire avait toujours la primeur du premier sang. Il ne fallait pas transiger avec les règles et les petits plaisirs de la vie combative.
Bref, tout ça était éminemment tactique.

C'est sur une belle après midi de pause déjeuner, ou le casse croute avait une tendance à ne pas vouloir ni venir ni se laisser faire, que Le Moyz reçu une chauve souris porteuse de mauvaises nouvelles:

Le Moyz - stop
Un décès est survenu - stop
Mouche Taki et Mouche Aka doivent revenir - stop
Pouvez vous les libérer - stop
Merci - stop
la famille à Mouche - stop

Vous connaissez Le Moyz.
Il est la grandeur d'âme incarnée. La générosité faite trolls.
Comment empêcher ses deux amis d'aller rejoindre les leur.
Il fallu bien que le combat cesse pour permettre à ces dernières de partir le cœur léger et la tristesse en bagage.
Consultant ses pairs, Le Moyz accepta de quitter le ring, la mort dans l'âme, en retournant au vestiaire. Alors que la victoire semblait si proche et si facile.
Rémy était souffletant, la respiration courte... Zirtruc ne semblait pouvoir se sortir des tonnes de glue qui lui collaient les poils du der... de la moustache. Seira s'était encore une fois foutue à poil en espérant, à tort, que quelqu'un daigne enfin lui passer sur le corps. Quelle fourberie.
D'ailleurs, Le Moyz devrait le lui dire un jour. Le Moyz aimait beaucoup Seira... Mais il l'aimait encore plus lorsqu'elle était habillée. Voire emmitouflée. Voire même pas visible du tout... Genre camouflage invisiblement pas visible...
Bref...
Il fallait rentrer

La fin d'une si belle aventure...
Le Moyz s'en voulait un peu...

L'année prochaine il reviendrait...

#. Message de MoysylnOeil le 20-12-2011 à 09:13
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
CHAPITRE 15 bis - The Rouminch ITW. Ou l'art de poser des questions pour ne rien dire, et d'y répondre pour ne rien faire...

Bonjour cher Moyzyln'oeil. Comme vos confrères des StonesBourrés, votre équipe, les Bourre-Stones, a terminé troisième de sa poule. Vous avez pourtant gagné le premier match, le 6vs6, sur le score sans appel de 6-0. Dans l'un des 3vs3, vous l'avez emporté 3-0. Mais dans le 3vs3 auquel vous participiez, vous êtes tombé, et votre équipe a perdu 1-0.
Question: Vous arrivez encore à vous regarder dans une glace ?

Cher Rouminch,
Le Moyz est ainsi. Il partage, dans l'abnégation la plus totale, les succès avec ses adversaires. Il est solidaire de ses amis. Il ne veut pas non plus se mettre en avant, sa légendaire modestie prenant le dessus sur les évènements. Les scores étaient sans appel certes, les Bourre-Stones forcément les meilleurs.

Voyez vous, cher Rouminch, plusieurs facteurs sont intervenus à cette étonnante décision de notre part de quitter, la tête haute, le cœur fier et les larmes à l'oeil, cette Mountybaston.
Par solidarité d'abord, face à la défaite de nos très proches amis, que nous avons décidé d'accompagner dans leur malheur. Par introspection ensuite, nos adversaires n'étant pas les légendes que nous sommes, nous avons trouvé bon de faire une petite place aux jeunes et aux inconnus. Nous n'avions pas besoin de cette couverture médiatique. Par respect ensuite, deux des Mouches du Moyz, Akka et Taki, ont eu un décès dans leur famille. Le Moyz a donc été obligé de les laisser partir quelques temps, avec un peu de regrets certes. Mais voilà, le Moyz est bon et généreux. Ses coéquipiers tout autant.

Pour répondre à votre question, Le Moyz n'a pas de miroir.


Vous vous êtes lancé il y a quelques temps dans l'écriture d'un recueil de vos mémoires, intitulé "Les Aventures Extraordinaires de Le Moyz".
Franchement, à part vous, qui peut bien en avoir quelque chose à foutre de vos pérégrinations sans intérêt et racontées sans grand talent?

Mon cher Roumroum,

Vous ne voyez pas le coté positif de la chose. Le Moyz n'a aucun talent, il est vrai. Le Moyz est un troll sans intérêt. Il a donc décidé de raconter, très stratégiquement, l'ensemble lassant de ses soit-disant aventures non pas pour informer les trolls, mais plutôt pour les assommer avant de les finir par un projo bien senti. Ou même plusieurs, hein? le Moyz est un Tom, il ne finit rien du premier coup, à part sa bouteille de D'Jack D'Anield's (Magik Inside). Il est de notoriété publique que le Moyz est une petite chose fragile, qui plie sous le vent en rompant. C'est important le vent, mon cher Poumpoum, car c'est le vent qui permet au gowap de se déplacer plus vite. Ne dit on pas "un gowap court comme le vent"? Le vent, c'est le fil de l'existence qui, comme les oiseaux qui tomberaient sans l'air qui les soutient en soufflant comme le vent qui file comme les gowaps, permettant au gowap de se déplacer sans vaciller. Car sans le vent le gowap ne filerait pas. Et donc Le Moyz facilement brisé, non pas par le vent qui souffle comme l'air qui soutient les cris de rage de Dantag Jr quand on lui parle de son ancêtre carnassier et qui fait tomber les zoizeaux qui filent sur l'air mais par les coups de ses adversaires, a décidé de leur pourrir la vie en leur farcissant la tête de trucs sans intérêt sur Lui et Lui-Même.

Pour répondre à votre question, mon cher Toumtoum, vous êtes jaloux d'avoir trouvé quelqu'un avec moins de talent que vous même. Et la jalousie, c'est pas beau. Du tout. C'est mal. Vous voulez que Le Moyz vous aide à parfaire votre médiocrité?


La médiocrité je sais pas, mais en terme de connerie, vous auriez des choses à m'apprendre je crois bien...
Vous avez lancé il y a quelques mundideys de cela un appel à l'adoption. Parmi les abrutis qui vous ont invité à les rejoindre, vous avez choisi la guilde Le Réveil du Dragon.
Ma question est simple: pourquoi ces chochottes ?

Mon cher Rouminch,

Le Moyz ne sait pas... Il avait moult choix, maintes possibilités, de fabuleuses options, des propositions hors normes. Et il a décidé d'aller chez des branquignolles granguignolesques. Cela s'apparente à du masochisme. C'est vrai. Mais Le Moyz est ainsi, il privilégie les petites guildes où il ne se passe rien pour leur apporter la bonne parole, la Foi, la Connaissance !!!!!! Mon cher Ploumploum, il ne faut pas dévaloriser ainsi les trolls de bonne volonté. Le Moyz les sponsorise donc de sa modeste présence pleine de sublimitude, de séductivité et de topissitude.

A savoir que Leus a aussi promis au Moyz une fortune en GG, des trollettes à foison, de l'alcool à gogo, la vie sauve (ratée à quelques fois près) et votre place au Journ'Hall.


Dans vos rêves.
Vous êtes un Tom, mais vous affirmez être un Skrim. Et bientôt, vous nous direz être un de ces dégénérés de Darklings. Au fond, vous êtes quoi?

Mais voyons Rouminch, Le Moyz est vous!!! Si si, regardez y de plus près. Vous êtes un troll, vous êtes laid, vous écrivez n'importe quoi, vous z'êtes dédaigneux, méprisant, hautain et, accessoirement, laid. Oui, deux fois... Une fois laid, et une fois accessoirement. Ce qui veut dire que les jours où vous êtes laids, vous pourriez l'être encore plus. En conclusion, comme 1 et 1 font 2.34, vous êtes Le Moyz, et Le Moyz est vous. C'est imparable. Ne cherchez pas, vous allez vous faire mal au neurone. Car sachez le, mon cher Ronplonplon, Le Moyz est doué d'une faculté d'ubiquité qu'il ne maitrise que très personnellement. Et pour ainsi dire, pas du tout. Le Moyz est Lui et Lui-même... Mais lorsqu'il est Lui, ou est donc le Lui-Même? Et bien c'est vous!!! Peut être... Pas tout le temps... Une fois il a été Agrobast... Compliqué a gérer, les deux têtes. Mais dans le fond, il est plutôt vous. Ce qui explique pourquoi cette interview vous échappe. Il est difficile de s'interviewer objectivement soi-même. Et donc, cher Richmond, êtes-vous sûr de bien être vous-même et de ne pas être Le Moyz?


Désolé, c'est le jour de congé de mon neurone, je ne ferai donc pas appel à lui... Nous arrivons donc à l'épilogue de cette interview. Je vous remercie cher Moyzyln'oeil de vous être prêter au jeu, et vous laisse conclure cet échange comme vous le souhaitez. Lâchez-vous, faites-vous entendre, vous avez carte blanche.

Cher Rouminch,
Laissez Le Moyz vous remercier de lui avoir accordé une petite place dans votre feuille de choux. Au final, vous êtes très sympathique...Surtout quand vous ne posez pas de questions.
Et amis trolls, qui nous lisez, surtout n'oubliez pas: Mangez des Toms !!!

Interview réalisée par Rouminch, pour le petit journal. Avec l'aimable participation du Moyz.

#. Message de Rouminch le 20-12-2011 à 15:24
35708 - ( )
Pays: France (77 - Seine-et-Marne)  Inscrit le : 30-06-2004  Messages: 8139 (Hydre Fumante)   Citer Citer
Heu, pardon Le Moyz, mais le co-pirate, ça te dit quelque chose?!

#. Message de MoysylnOeil le 20-12-2011 à 15:37
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
Tu veux des GG, c'est ca?Tu veux extorquer au Moyz la maigre pitance qui est la sienne, vil fourbe de journaleux?
Fait un procès au Moyz... Non mais...
Sinon, les droits peuvent être payés en Djack D'Anield's (Magik inside)?
Ceci dit, c'est une interview du Moyz par Rouminch. La vedette, c'est le Moyz (D'ailleurs, ça s'appelle bien les Aventures extraordinaires de Le Moyz, et pas les Aventures extraordinaires de Rouminch, hein?)
Et Le Moyz étant une marque déposée, sisisisi, combien as tu payé pour avoir la bonté, l'obligeance, l'honneur même!!!! de l'utiliser dans ce vil torchon Ô combien aimé qu'est notre journal.
Le Moyz va te le dire: RIEN!!!
Car Le Moyz, dans son âme et conscience à la grandeur insondable, à la générosité inégalée, à la ferveur s'en faille ( oui, s'en faille. Comme dans il faut bien qu'il s'en faille..; et non sans faille... pas la même chose)..., distribue sa parole et son amour sans la moindre contrepartie.
Oui môssieur...
Vous passez là pour un arriviste... Le Moyz vous sied de sa présence, vous fait de la pub gratuitement, et vous lui parlez de copie raille...
Vous êtes un rustre...
Vous êtes un faquin...
Vous êtes laid et Le Moyz vous méprise...

Ceci dit, cher Ronplonplon, Le Moyz pensait que les histoires du Moyz n'interessaient que Le Moyz. Il en conclu que vous lisez un peu par-ci par-là...
Le Moyz sait, c'est dur de se passer de lui...

#. Message de MoysylnOeil le 22-02-2012 à 09:32
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
CHAPITRE 15 ter - Before POGO - What iz ze Topissime Parole preched by The Moyz (trademark deposed).

Voilà quelques semaines que Le Moyz vadrouillait langoureusement dans le Hall, préchant la Topissime Parole à qui voulait bien l'entendre. A ceux qui ne voulait pas, aussi, d'ailleurs. Cela nécessitait juste un peu plus de tact et de volonté. Peut être même quelques coups de latte par-ci par -là, mais rien de bien violent. Le Moyz est un grand pacifiste. Et la pacification, il aimait ca.
Le Pacificateur était d'ailleurs un surnom qui lui collait comme un gant. Une vieille histoire avec un troll du nom de Jorge Klouné, il lui semblait.

Le tact et la profonde compréhension Moysienne tenait beaucoup plus du rouleau compresseur que de la caresse de couette, il faut dire.
Bien que Le Moyz avait tendance aussi à remplir ses édredons de gypse et cailloux divers; histoire que, durant les bataille de polochon, il ne soit pas totalement décontenancé par la partie adverse. Le sujet était tout autre… Les souvenirs douloureux. Le Moyz reviendrait un jour la dessus.
Le Moyz diffusait donc la Topissime Parole que ses interlocuteurs ne pouvaient qu'écouter avec grande attention. Un mort n'écoute rien, il est vrai. Mais un agonisant est toujours disposer à vous accorder un peu d'attention pour un peu que vous soyez clément à le laisser vivre un peu plus longtemps. Ca fait beaucoup de "un peu", c'est vrai… Mais Le Moyz était toujours très "un peu".
Un peu partout, un peu pas là, un peu stone, un peu bourré. Totalement fou avait dit un jour un troll qui, depuis, sucait encore des cailloux pour se nourrir. Quand il ne se déplaçait pas avec l'aide de sa langue. Pas de bras, pas de chocolat. Pas de genoux…Pas de genoux…
Clémence était le deuxième prénom du Moyz. Ou le troisième… Peut être même au delà, il ne savait plus. Ou alors, c'était sa sœur qui s'appelait Clémence… Enfin, il y avait un truc comme ca qui trainait dans la famille. Il en était sur…
Une marque de bière peut être…
Bref, Le Moyz était donc écouté avec une attention et une ferveur qui le laissait toujours plein de mansuétude et de générosité. Le Moyz aimait être écouté. C'était là l'un de ses moindres défauts. Il prenait soin des oreilles de ses interlocutationneurs ( Un interlocuteur, des interlocutationneurs).

La Topissime Parole constituait avant tout en la diffusion de préceptes de vie intramoysien qui, respectés à la lettre, amenait à la sérénité intérieure puis à la sérénité extérieure.
Attention, faut pas confondre les deux.
La sérénité intérieure était un état avancé de pensées diverses et variées, dépassant largement le stade du "faut manger" et du "faut boire" inhérent à tout bon troll de constitution normale.
La sérénité intérieure de la Topissime Parole relevait de choses transcendantalement plus évolué.
"A quelle heure qu'on mange" et "qu'est c'qu'on boit" en faisait partie. De ces pensées aux profondeurs abyssalement tellurique naissait une voix (oui, une voix) intérieure qui amenait au second état de plénitude: la sérénité extérieure.
Et là, c'est le drame…
La sérénité extérieure de la Topissime Parole constituait à répondre à l'appel de la sérénité intérieure qui tancait d'une petite voix dans le Moi profond de la psyché trollesque rapporté à la voie ( Oui oui, à la voie) de la rédemption contextuelle par l'éminence psychique de la collusion de la Topissitude et de la Séductivité.
En gros, c'est un foutoir sans nom qui, par la force des choses, rendrait zen n'importe quel troll de bonne facture.
Et Le Moyz était de très bonne facture. Le Zen passait généralement chez lui par un écrémage systématique de ce qui avait tendance à ne plus le rendre zen. Les monstres et trolls alentours faisaient donc les frais de la diffusion de la Topissime Parole emprunte de zénitude du Moyz. Ce qui équivalait à un sévère bottage de derrière, une visite au soleil ou, dans le meilleur des cas, une agonie lente et douloureuse. Tout ca était effectivement très zen, ca calmait le Moyz.
Là se trouvait la sérénité extérieure.
Les âmes chagrines diraient que la sérénité extérieure inhérente à la Topissime Parole n'avait pas grand-chose de différente d'un bourrinage standart constituant à latter tout ce qui se trouvait aux alentours en veillant, avec attention, à ne pas trop froisser les diplomates et casse-bonbons divers.
Certes certes, répondrait Le Moyz.
Ce serait le cas si tout cela n'était pas fait en chantonnant avec un sourire béat de plénitude Top.
Et ca, ca changeait tout!!!!

Cher z'amis, ainsi est la Topissime Parole que diffusait Le Moyz avec toute la modestie du monde hallien qui le caractérise.

Le Moyz était heureux de pouvoir ainsi prêcher dans le Hall à qui voulait l'entendre (ou pas…)
Et cela tombait bien… il allait beaucoup précher, un pogo semblait se préparer.

Et noubliez pas, un verre de D''Jack par jour ne vous rend que joie et amour!!!

#. Message de MoysylnOeil le 27-02-2012 à 10:41
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CHAPITRE 15 quator - Before the POGO, the way to aller to the Vestiaire for the POGO en thinking about rien becoze the Moy'z brain is overkloqued par nothing


Et un p'tit pogo, un!!!!!
Le Moyz n'avait pas participé à l'événement depuis quelques cycles. Bien avant son grand sommeil sur les bords de Carmine ou lui avait été transmis la sagesse de la Topissime Parole.
Et cela ravivait en Le Moyz des souvenirs transcendantaux.

D'ailleurs longtemps Le Moyz avait cru, quand on lui parlait, que le pogo était une genre de saucisse cuite dans une sorte de pate à frire, le tout planté sur un bâtonnet et servit chaud. Le dernier a lui en avoir parlé lui disait "Et si t'aime pas ca, j'me tranche la gorge…"
Du coup, cela relativisait les choses. Le Moyz aimait la saucisse, mais il avait du mal à comprendre, dans les discussions, comment ce mot pouvait être justaposé à "trolls", "bottage de fesses" et "défoncage", sans en tirer des conclusions au-delà de toute morale.

En fait non, ca ne ravivait aucun souvenir à part celui-là. Le Moyz se foutait de ses premiers pogos comme de ses premiers gargarismes à énucléation inverses. Autant dire que cela avait été douloureux, violent, et surtout douloureux. Du genre à te tourner des fourchettes dans l'arrière des globes oculaires histoires d'oublier les autres douleurs. Surtout celles qui consistent à se planquer honteusement derrière chaque morceaux de cailloux pass'que tu avais eu la bonne idée de déraper sur un reste de glakvot laissé par tu ne sais plus quel saligaud et qui t'avait fait arrivé jusqu'aux pieds fort odorants d'un troll de 50 mouches de plus que toi qui, étant plus haut et plus gros, avait aussi une tendance a ne pas te voir en se déplaçant; et par conséquent à te faire faire, d'un simple pas léger et volubile, un régime dantesque te ramenant obligatoirement à tes premiers amours de vacances: l'autobronzage.
Et cela avant même le début du combat.
Un petit pas pour la trollitude, une grande empreinte dans ta gueule.
Tout un programme en perspective que Le Moyz n'avait aucunement l'intention de revivre et qui, accessoirement, serait aussi une certaine forme de ligne de conduite quand à sa présence au combat.
Vi, Le Moyz était rancunier. Et s'il pouvait faire aux trollinets ce qu'il avait subit, il n'hésiterait pas. bien que morfond de culpabilité idoine et de regrets sans nom. le Moyz a une conscience, et parfois elle le chatouille… Pas trop longtemps quand même. Juste le temps généralement d'entendre le mot "pitiéééééé", d'en apprécier toute la saveur des tonalités, la douce harmonie des déshyncronisations harmoniques (qui font tourner les mouches dans le sens inverse des aiguilles d'une montre ( cf Sherlock Trollmes)), et de prendre en compte la demande du demandoresque demandeur en le renvoyant gentiment à des agapes méritées dans le plus proche centre de résurrection sus-nommé par le défunt qui ne pensait pas en être un tout en sachant qu'il risquait de finr ainsi mais en extrapolant que, sous le couvert de sa grande mansuétude, le Moyz épargnerait modestement un geste délétère et brutal.
mais Le Moyz n'ait pas ainsi. Il aime son prochain. L'ignorance étant le plus grand des mépris, il n'ignore pas. Il achève.
Bref… le Moyz était motivé à faire de son mieux durant ce petit pogo.
Surtout qu'on lui avait promis plein de choses sympathiquement délicieuses.
Rouminch, le prédicateur des Quatre-Pattes, le suppôt de Zitoire, lui avait dit qu'il prendrait un plaisir sans nom à danser une gigue de sa région natale (Parce qu'il parait qu'il est né, et non pas apparu comme beaucoup le dise dans un trou odoreusement fangique) sur les oreilles du Moyz, qui ne seraient pas forcément encore attachées à son cadavre.
Neitsabes, le détenteur de la ceinture à Dragons, le pourfendeur de… de…, tiens, le pourfendeur de rien… le pourfendeur de vide abyssal donc, lui avait aussi promis les mêmes chsoes, mais en plus violent, en plus méchants, en plus… plus… Que d'la gueule!!!!!
Le Moyz allait donc, d'un petit pas chantant, marqué par un entrain entrainant vers le funeste destin que plein de monde lui préconisait, et que plein de monde il serait déçu car Le Moyz ne comptait pas se faire massacrer ventripotement la face sans lutter un brin!!!!
Il avait d'ailleurs pour cela ramené tout un stock de Tonneau de D'Jack. Qu'il avait vidé en route histoire que TTV ne le fasse pas des son arrivée…
Mouhahahahaha, il ne l'aurait pas, cette fois-ci.
Bien que la logique du Moyz lui laissait à penser que ce n'était pas forcément si malin que cela puisqu'il se retrouvait aujourd'hui avec sa seule petite réserve personnelle, coincée entre ses Co'Hibas et une photo scabreuse de Lapinette que Dantagueule Jr (Paix à son âme) lui avait vendu à pas cher. A savoir garder toutes ses dents, de préférence encore vissées à sa mâchoire.
Ce bon vieux Dantag… Le Moyz avait toujours une pensée émue en se remémorant le visage bouffi de son vieil ami goinfrosaure à l'estomac si solide.

Les volutes de son Co'Hiba, fraichement allumé, précédait Le Moyz dans ses déplacements. Tout en songe, il enchainait Portail sur Portail, courant, volant surgissant à l'improviste, se dépêchant de foncer vers un nouveau chapitre de son destin sans mesure.
Déjà se profilaient à l'horizon les hautes tours du Vestiaire d’où éructaient monceaux de trolls catapultés.
ce qui expliquait aussi peut être les tas un peu bizarre qu'il croisait sur le bas coté.
Bizarre et gémissant d'ailleurs…

#. Message de dantagueule le 28-02-2012 à 15:22
103781 - Dantag Jr (Tomawak 60)
- GPHY -
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En attendant... un verre avec Cruz (Pénéloppe de préférénce) ... Dantag Jr il attends toujours les péchons promis durant le pogo... bon ma topissime classitude moyzesque m'a valu de retourner rapidement ranger le stock de potions frelatées à la GT... 2 grosses masses velues dépassant LeMoyz même de quelques tête s'étant rapidement pris "d'affection" pour ma personne... mais quand même, ma déception fut réelle...

Dantag Jr, dont l'héritage estomactique te salue...

#. Message de MoysylnOeil le 15-05-2012 à 18:26
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CHAPITRE 16 - POGO (Partage Ostensiblement Goresque à Outrance)


PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU.
Il n'était pas passé loin celui-là, de projo… Suffisamment près d'ailleurs pour que Le Moyz n'est qu'a tendre la main pour allumer un nouveau Co'Hiba… Le précédant avait, il ne sait trop pourquoi, vaguement disparu. Ou alors il était dans l'œil d'un troll pas trop loin de lui, ce qui expliquait les cris douloureusement endoloris de la boule de poil qui limacait à terre en fumant un brin de ce qui ressemblait furieusement à une tête…

Le Moyz était en plein milieu d'un pogo qui s'avérait déjà épique. D'abords parce que cela faisait quatre jours que ca tabassait dans tout les coins à tout va. Ensuite parce qu'il était encore vivant, et qu'il comptait bien le rester.
Ce n'était pas faute d'avoir essayer, mais ainsi était la topissitude grandissante en ses veines. Elle le protégeait. Ou du moins l'espérait il. Il y avait peu de différence entre une topissime résolution de rester vivant, et une topissime mort.
A peine quelques niveaux, et un peu plus de soleil, en fait.

Au premier jour, Le Moyz s'était bien dit qu'il allait rigoler un peu en asticotant quelques uns de ses compagnons d'infortune. Neits lui avait promis milles morts douloureuses en l'éparpillant un peu partout façon puzzle, tout en réunissant les morceaux après pour les cramer après les avoir éventuellement concassés, noyés, laminés, écartelés, vendus au plus offrant, pissé dessus, s'en être servi comme paillasson, les monter en collier pour les perdre dans Carmine, s'en servir comme dessous de table au "Gob qui fume", et moults autre délices tout aussi prenant qui laissait Le Moyz songeur quand à la capacité de pardon, et la prestance culinaire, du Neits.
Non qu'il doute qu'il ne sache cuisiner, loin de lui cet avis. Mais disons plutôt que Le Moyz était sensible à la cuisine épicée, et que Neits avait tendance à mettre parfois un peu de viande sur le piment.
Du coup, Le Moyz aurait eu chaud, et ca, c'est pas emprunt de classitude.
Quoiqu'il en soit, Le Moyz lui fit un petit appel de la main, furtif, histoire de lui rappeler l'ensemble des prérogatives torturesques qu'il lui avait promis…
Sauf que le Neits, il était déjà plus là… Il restait bien un bout de botte fumante et un violent juron disparaissant dans les volutes de la bataille laissant présagé un départ aussi précipité que non désiré de son vieil ami.
Tant pis…
Mais c'était un dépit que Le Moyz compensa immédiatement en lançant son courroux sur le premier troll passant… Tiens… Lui là, Jinzasse. Qui d'un œil atorve semblait se demander ce qu'il faisait là, avant de se mettre à courrir, le poing levé, vers un troll un brin plus gros que lui en éructant "A moooooooooooooooort les vieux", d'une voix fluette qui laissait à penser une enfance difficile faite de coup de lattes mal placés et de cacahouètes atrophiées.
PPFFFFFIUT…
Plus de troll…
Le malheureux Jinzasse, venait de se convertir en un petit tas de carbone qui, il devait l'avouer, le remplaçait très avantageusement.
Un de moins…
Le Moyz restait invisible aux yeux non exercés du commun des trolls. comme tout bon tom qui se prévalait de devoir éviter les mauvais coups, Le Moyz restait drapé dans sa fier armure de camouflage. Tout espérant que les hargneux Hall'Hyène l'entourant ne feraient que passablement attention à la petite lumière rougeoyante que laissait son cigare.
C'était là le plus gros problème du Moyz, juste derrière le manque évident de remontant liquide qui, par une astuce encore inconnue au yeux du Moyz, avait été provoqué par le passage de TTV juste à coté de lui. Il s'avérait que le dit Toutenvrak finissait par avoir une réserve plus consistante que celle du Moyz, ce qui commençait à l'inquiéter. Le D'Jack n'était pas une boisson a laisser entre toute les mains. Elle se dégustait en petites doses pour les esprits non initié à la topissime parole qui dérivait de la topissime bibine. On la buvait par larmes…Et entre celles du TTV, cela risquait fort de devenir des larmes de destructions massives.
Le Moyz verrait cela plus tard.
Là, il était plus préoccupé à rester en non volatilisation (car, comme le CROU, Le Moyz ne mourra jamais…), tout en tapant ce qui passait tout en faisant attention à ne pas faire remarquer sa présence tout en faisant attention à son D'Jack tout en prenant soin de cacher son cigare…
La dernière fois, Le Moyz pensait d'ailleurs avoir trouver une astuce en fumant tranquillement sous le couvert de son camouflage.
Mais quelle merveilleuse idée plein de merveilles et d'idées!!!!
Enfin, pendant cinq minutes.
A la sixième, Le Moyz avait les yeux qui pleurait sous l'influence de la fumée s'entassant sous sa cape, tout en suffoquant à plein poumons. Et cela juste avant de se rendre compte qu'il avait foutu le feu à son armure.
Ce qui donna lieu au camouflage le moins discret de l'histoire du camouflage. Il est vrai que rester camoufler tout en s'étouffant et, accessoirement, en illuminant tout ce qui était autour à sept cavernes à la ronde tenait plus de l'exploit que de la chance. Et pouvait passer pour de la bêtise, si ce n'était en fait une vraie connerie.
que Le Moyz assuma totalement ceci dit. Environ vingt secondes… Avant de se volatiliser avec classe (une fois de plus) et de parfaire un bronzage pourtant impeccable à l'accueillante surface ou Le Moyz avait fini par se construire un petit chez soi ces derniers mundys.
Non, Le Moyz ne referait pas cette erreur.
Mais du coup, il devait faire attention et, avec toute la finesse lui étant connue, faire en sorte de rester discret.
AIIIIIEUHHH…
Quelques choses venait de piquoter l'orteil du Moyz.
Lazve Troll of Lambach, petit trollinet fort sympathique au demeurant, était arrivé tranquillement sur la case du Moyz…
"Euuuuh… 'scuzez moué, m'ssieur!!!! pas fait expr…"
PPFFFFFIUT…
Plus de Lazve.
La discrétion était l'apanage d'un pogo réussi.
Jusque là Le Moyz semblait s'en sortir avec toute la modeste élégance qui était la sienne.
La topissime parole semblait marquer le pas et rendre Le Moyz dans la transcendantalisation éponymement intrinsèque dans l'invisibilité tomesque.
Bref, c'était cool.
Le Moyz s'en donnait a cœur joie. Il pulvérisait, volait à travers sa propre caverne (bah vi… s'il avait volé dans celle des autres, ca aurait été moins discret et pas super cool. Troll qui vole, baffes qui décollent).
Encore un pogo qui allait être gagné dans la joie de la facilité facilement facile.
Et hop…

#. Message de ALorgol le 11-06-2012 à 20:45
104370 - Rurn Le Blafard (Nkrwapu 60)
- L'Ordre -
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Le Moyz tu sais qu t'es moche et en plus t'es vieux 

Paye ton cycle le psycho

#. Message de MoysylnOeil le 28-08-2012 à 17:52
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CHAPITRE 17 - Interlucidité


Le Moyz vaquait à ses modestes occupations depuis quelques mundys. Après le pogo, Le Moyz ne se souvenait plus très bien de ce qu'il avait pu faire.
Il faut dire qu'il s'était pris, durant une distillation un peu sportive, un tonnal de Djack non fermenté sur le coin de la truffe à buches et que, du coup, il avait mal, il ne se souvenait de pas grand-chose, et il avait mal.
Le Moyz cherchait à recoller les morceaux de ces derniers temps.
Il était nombreux dans sa tête, il le savait. Et il n'était donc pas toujours facile pour Le Moyz de faire le tri entre ce qu'il pensait avoir fait, ce qu'il avait fait en pensant, ce que la pensée faisait, voire ce que la pensée pensait elle-même en pensant que peser le penchant du parfait au chemin faisant.
Bref… il se perdait en conjoncture (si, si…)
Il pensait bien avoir vu TTV courir nu derrière un troupal de gnu, la bave aux lèvres et le pilori au taquet, mais il n'était sur de rien…
Ou alors était ce peut être l'inverse, ce qui expliquerait la démarche un peu raide de son ami ces derniers temps.
Arf…
Cela était ennuyeux.
le Moyz avait bien connu une situation semblable il y a bien des cycles.
il se trouvait à l'époque chassant le dindon, et la dinde… Surtout la dinde. Particulièrement si elle n'est pas farouche et enclin à accepter les propositions les plus indécentes. De préférence avec des histoires du plume derrière, et de string devant.
Bref… Il chassait.
Et là,
BAAAAAAAM,
le Moyz, emprunt d'un accès d'inattention flagrant du à la découverte de part lui-même du fait que l'on pouvait compter au-delà de trois, c'est-à-dire jusqu'à au moins deux, et que le chiffre après le dit trois était forcément zéro.
Oui, c'est indéniablement logicationnel!!!!
Si on ne peut compter jusqu'à 3, c'est qu'il n'y a rien après. Et si n'y a rien après, c'est obligatoirement parce que le vide infini de la numérologie temps vers une constante lancinante de tolérance cumulée asymptotique ramenant au néant.
Et donc, s'il y a néant, il y a froid. S'il y a froid, il y a basse température. S'il y a basse température, il fait zéro.
Donc après trois, c'est zéro.
Facile.
Donc Le Moyz avait chu, avec classitude et séductivité, faut pas confondre.
Et était retombé sur les pieds, mais ceux du coté de la tête. Ce qui expliquait la grosse bosse au réveil, et le fait que ses bottes soient toujours intactes. une chance pareille, c'était l'essence même de la topissitude.
Sauf que Le Moyz ne se souvenait plus qu'il était Le Moyz. Il n'était plus lui, non!!!! Ni même Lui-Même… Il était L'Autre…
Et ca, c'était rude. Un peu comme de se regarder dans un miroir grossissant en sachant pertinemment qu'une entrecôte de plus ne changerait pas la donne et que donc on pouvait la manger avec une deuxième. Car si une ne changeait rien, deux non plus. A trois généralement on avait plus faim, à plus de trois, bah c'était zéro, donc on avait rien mangé, et c'était nul.
Le fait était que Le Moyz avait eu du mal a se retrouver entre Lui et Lui-même et L'Autre l'incitait à se servir de concepts que la topissitude ne pouvait reconnaitre: la Prétention.
Pour Le Moyz, troll toujours modeste, cela était une gageure. Il était maintenant doté d'un orgueil hautain et dédaigneux qui lui permettait de regarder de haut qui lui semblait.
Horreur
Damnation
Ô vieillesse éternelle!!!! (euuuuh. non, c'est pas cette pièce…)
Ô rage!!!!! Ô désespoir!!!!!
Ô de perrier!!!!!!!
Le Moyz était devenu un troll comme les autres.
Impensable, mais pas impossible.
le Moyz connaissait donc la rude épreuve qui habitait la cavité craniène de ses congénères qu'ils aimaient tant. il comprit alors toute la nécessité de prêcher la topissime parole auprès d'eux.
Car si un coup pouvait faire du Moyz un troll normal, peut être que l'inverse fonctionnerait!!!! Peut être qu'en préchant plus haut, plus dur, plus fort Le Moyz arriverait à tourner l'esprit dédaigneusement présomptueux de ses amis vers la quintessence même de la communion avec Saint Djack dont les préceptes s'égrainaient au sein du Topissime Parchemin.
Le Moyz marchait, les yeux plein de ces considérations et la tête pleine de larmes… et surtout en ne regardant pas ou il m'était les pieds. (Si si...)
BAAAAAAAAAM
Poutrage du Moyz par une stalagtite se plaçant pile entre ses deux yeux qui le fait basculer sur une stalagmite que se place pile entre ses deux omoplates. Voulant éviter un coup de nuage agressif, qui passait par la malencontreusement, Le Moyz se retrouve en équilibre au dessus d'un puit dont il pense voir le fond, sauf que non, comme il s'en rendra compte deux minutes et vingt sept secondes plus tard, en bas. En retombant a nouveau sur ses pieds, mais les bons cette fois -ci.
Pas de bobo sur cette chute.
Ce fut plutôt l'arrivé inopportune des deux excroissances rocheuses précédemment citées qui faire plus de dégats. Si Le Moyz, dans un réflexe topissime, arrêta la première avec les dents (Le Moyz a une solide dentition), la deuxième ne suivi pas le même trajet.
Déjà parce que c'est compliqué, avec la première entre les dents, de tenter de faire la même avec la seconde. mais surtout que ca ne marche pas avec les paupières… Il fallait quand même essayer.
Bref, le crane du Moyz craqua à nouveau.
Sauf que, en se réveillant, Le Moyz comprit qu'il était à nouveau Le Moyz… La topissitude avait parlé et avait donné au Moyz les moyens de comprendre ce monde cruel en le mettant dans la misérabilitude.
Le Moyz se drapa dans une regain d'altruisme et se décida à aller précher ainsi la topissime parole sur les routes. Avec plus d'arguments. Surtout contendants…

mais là, ce n'était pas pareille… Le Moyz savait qui il était, il ne savait juste plus ce qu'il avait fait… Il allait devoir partir à la recherche de la topissime vérité sur Lui et Lui-Même…

#. Message de MoysylnOeil le 12-10-2012 à 17:29
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CHAPITRE 18 - Vers le nain fini, et l'eau d'Ela.

YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH EHHHHH EHHHHH…

Le cri fusa comme une balle de projectile magique à travers la caverne, rebondissant sur les parois qui, sous le coup de la prestation vocale, se fissuraient à défaut de pouvoir se boucher les oreilles. (Oui, certes, les oreilles de parois sont peu distinctes, mais elles existent, point n'en faut…). Le cri courrait, volait, cheminait vers sa cible. L'intolérable vague décibèlienne creusait sa faille sans chemin dans l'air visqueux, faisant fuir les quelques atomes d'air non vicié qui, par un hasard encore non expliqué, avaient pu rester en cet endroit de turpitude vicieuse.

Il allait frapper sa cible, inexorablement. La victime, il n'en faisait aucun doute, allait souffrir. Les tortures que Neitsabes infligeaient lui-même à ces gowaps paraitraient comme autant de délices de crème glacées s'étalant sur un napperon charentaiseux de douceurs extatiquement sentencedienne.

Le cri trouva sa cible, et s'y engouffra…

QUOI LE MOYZ!!!!!!! TU ME LES BRISES SEVERES!!! Y'A PLUS DE DJACK AU BAR, TTV EST PASSE PAR LA… ME RESTE JUSTE UN TONNAL VIDE!!!!!!

Le délicat gérant de ce fort attrayant endroit plein de charme avait parlé.

Plus de Djack…

Plus une seule goutte de Djack…

Rien…

Quéquette…

Et Le Moyz avait soif d'une longue route emprunt de prêche topissime, de baston topissime, de blatrage topissime, et de bobos à la tête pas topissime…

Chienne de vie…

Misérable TTV… Il allait falloir que Le Moyz prenne les décisions qui devaient s'imposer afin de faire en sorte que l'Aubergiste cesse de ratiboiser le divin breuvage sur la route du Moyz.

Car ce n'était pas la première fois…

Hier aussi, il n'avait pu étancher sa soif. Il aurait bien gardé le tonneau encore vide, mais malheureusement, pour des raisons encore difficile à saisir, ce dernier s'était retrouvé à servir de cure-dents version ballbreaker à un troll de peu de foi qui pensait que la Topissime parole était une marque de papier toilette non hygiénique dont on pouvait se servir pour faire le marquage des Gnus et, accessoirement, des guirlandes de couleurs roses fort élégantes au sien de sa petite caverne personnelle pour l'anniversaire de sa hache de guerre.

Donc, inévitablement, curage de dents.

Même si, en définitive, il n'y avait plus grand-chose à curer après le passage dudit petit bâtonnet cerclé.

Un peu comme le jour encore avant ou un tonnal, toujours vide, avait fini par se remplir des restes d'un barman, fort agréable au passage, ayant eu la bonne idée de dire que Raspoutine était une sorte de gonzesse à faucille, et qu'il lui collerait bien le marteau dans un endroit peu lumineux et fortement fréquenté, mais pas dans le même sens courant.

Le Moyz prêchait souvent la Topissime Parole lorsque l'on parlait avec autant de sympathie de ses amis, même s'il était vrai que, finalement, gonzesse à faucille n'était pas si mal concernant le kommunist à attributs développés.

Bref… Plus rien à boire. La misère

Il y avait comme un petit relent de désercitude (action de devenir un désert - A ne pas confondre avec la dessercition qui est l'action de devenir un dessert…) alcooliquement gustative.

C'est donc un Moyz en pleine action d'éclat de léchage de tonnal que trouva une chauve souris, qui se posa sur l'arrière train d'un barman qui, visiblement, trouvait moins laconique de nettoyer son parquet avec la sous-face de sa langue plutôt qu'avec un torchon. D'un autre coté, ou pouvait entrapercevoir ledit torchon émaner de chaque oreille de l'heureux propriétaire qui avait eu le bonheur d'accueillir un Moyz très enclin au Topissime Pardon, même en l'absence de breuvage digne de ce nom.

Gnikékissepassboudioudechlafouilleàpoisrond?

La question se posait. Le Moyz recevait peu de courrier, rapport au fait que la Topissitude ne se transportait pas facilement. Enfin, si… Elle se transportait d'un coin à l'autre du Hall… Mais disons qu'elle avait tendance à ne pas toujours laisser les choses dans leur état d'origine.

La chauve souris regardait d'un œil torve le tonnal d’où s'échappait des volutes de fumées bleues, dansant à la lumière terne des bougies du comptoir.

Une tête de Moyz en émergea, un Co'Hiba au bec.

Le Moyz se lécha les doigts, recherchant les dernières saveurs d'un Djack trop précocement disparu.

Il regarda la bestiole et saisit la missive.


Le Moyz - stop

C'est l'Aubergiste - stop

Arrête de lécher le tonnal que j'ai vidé - stop

J'ai un truc pour toi - stop

Ca déchire et en plus, y'a à boire - stop

Viens au vestiaire des combattants - stop

 

Le Moyz haussa un sourcil. Comment savait il? D'un autre coté, ce n'était pas compliqué. Le Moyz était soit fourrer dans une baston quelconque, soit dans le fond d'un tonnal. Il ait l'esprit clair d'ailleurs, et cela faisait plaisir. Il aurait pu aussi se retrouver dans un fond quelconque. Et la question qui se serait poser aurait été quel fond? Voire, pire encore, à qui ce fond?

Le Moyz était ennuyé. Le vestiaire était loin. Il n'avait plus de monnaie. Il faisait pas beau. Il fallait qu'il repasse ses bottes. Il avait cour de bougies flottantes.

Il était très occupé, et cela l'occupait déjà pas mal.

Oui mais, il y avait à boire… Argument non négligeable. Argument à prendre en compte. Argument à… à… Foutràbois!!!!!!!!!!!!!!!! L'Aubergiste avait vidé les auberges pour l'obliger à le rejoindre. Là était la seule explication possible.


Exactement…


La missive tomba à ses pieds… le Moyz leva la tête et vit partir à tire d'aile l'émissaire.

Elle faisait bien. Le Moyz sentait le sang lui monter à la cheville.

Oui, à la cheville… Car il avait soif et qu'il se sentait vidé.

Il sauta à bas du tonneau d'une magnifique roulade que certains auraient pu considérer comme improvisée alors que Le Moyz faisait là preuve d'une magnifique gestuelle dont il songea à faire breuveter les moulinets. Il s'accouda avec nonchalance sur le bar en pulvérisant le panneau frontal, harangua ce qu'il restait du barman en lui écrasant un peu la machoire au passage, se mira avec topissitude dans le miroir qu'il défonca d'un coup de menton satisfait afin de s'arrêter dans la pièce voisine qui, maintenant, avait une nouvelle aération en forme de Moyz.

Le Moyz, lui avait un nouveau cigare en forme de petite fleur bien plus large que longue.

Il tapa la poussière qui, par il ne sait quel miracle, avait trouvé place sur ses épaules avant de s'engouffra dans le TGV.

Sympa cette auberge, pensa t'il. He'll be back, se disait il en mettant ses lunettes de soleil (durement acquis, mais fort utile par les temps qui courrait) Ray Batroll, qui incarnait encore plus la topississude...


Le vestiaire des Combattants. Un endroit fort agréable et charmant, bien que très fréquenté. Et peu intime, les portes des toilettes n'ayant toujours pas été remises en place suite au dernier passage de Sentenced (Voir CHAPITRE 14 - Ou l'art de la prestigi...presgidi...presspuréti... De la magie de la disparition....)

Toutenvrak était là, tout sourire, adossé au bar…

TTV:     Le Moyz!!!!! Tu as fait vite, mon ami.

LM:      Hello Chamboultou… la soif, surement…

TTV:     Vois pas d'quoi tu parles… Ecoute, j'ai un truc pour toi. un truc classe. Tu remarques qu'il y a du monde là non?

LM:      Tu leur a aussi piquer leurs tonneaux peut être non?

TTV:     Vois pas d'quoi tu parles… Et bien ils sont la pour le MMC1 !!!!

LM:      Le MMC1 - La Magie Magistralement Chiante de Jaimery?

TTV:     Naaaaaan, ta topissitude. Le Mounty Monster Challenge Premier du nom.

LM:      …

TTV:     Vois pas d'quoi tu parles… bref. je t'ai trouvé une équipe. Une équipe qui déchire. une équipe d'assassins, de tueurs, d'écharcleurs…

LM:      Bref, des trolls normaux quoi…

TTV:     Ils sont à toi. Suis les, tu verras…

LM:      Et les tonnals?

TTV:     Vois pas d'quoi tu parles…

Et sur un grand éclat de rire, il partit en grande enjambé, fendant la foule de sa massive carrure…

Chamboultou!!!! Ou sont les tonneaux du Moyz!!!!

 

Mouhahahahahahaha… Tu n'as pas encore compris??? Seul un Stone peut demander quelque  chose à un autre Stone… Mouhahahahahaha

Son rire se perdit dans le brouhaha de la foule…

Le Moyz le regarda s'éloigner. Cela avait beau être un ami, il avait parfois du mal à comprendre le TTV.

Ne serais tu pas Le Moyz?

Le Moyz se retourna…

Lui-même…

Nous sommes la Toppissime Djack Team…

Le Moyz sourit, tout était dit…

Allons y…

#. Message de Braquemarx le 15-10-2012 à 14:16
49337 - ( )
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J'aime point trop tes références de gonzesses a faucille... Je vais ptet venir prendre l'apéro direct à la source carotidienne topissime moua
BM, namého

#. Message de MoysylnOeil le 20-12-2012 à 10:23
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CHAPITRE 19 - DE LA TENDRESSE DE LA TOPISSITUDE DE L'AMOUR DE SON PROCHAIN DEUX FOIS PAR JOUR MEME LE DEMANCHE

AIE…

Y'avait des jours comme ça ou vraiment, fallait pas se lever. Du genre à rester au soleil avec une caisse d'autobronzant, une citerne de Djack, une réserve de ti parasol à coller au bord de son verre, un glacier artificiel à découper pour mettre dans son verre, et surtout une certaine dose d'introspection personnellement tout à toi à te dire que le soleil c'est bien mieux que ce que tu vas vivre.

Et de préférence en bonne compagnie. Genre pas avec TTV qui avait une certaine tendance à confondre "citerne de Djack" avec "consommation personnel unilatéralement à lui dans l'heure qui vient qu'il vaut mieux finir au cas ou, sur un malentendu, on découvrirait que c'est une denrée périssable et qu'en fait non alors c'est con faut en trouver une autre…"

AIE…

La soif était toujours pire que la mort. Et boire de l'eau toujours pire que la soif. Et boire de l'eau équivalait à la mort. Mais du coup, ca collait pas ca… Si l'eau est pire que la soif qui est pire que la mort, comment la mort qui n'est pas pire que la soif peut elle pire que l'eau qui n'est pas pire que la mort de la soif. Compliqué ca… Il valait mieux rester avec un pire.

AIE…

Bref, y'avait des jours comme ça ou, vraiment, fallait pas se lever.

Et des jours comme ca, ca durait depuis quelques jours déjà…

AIE…

Le Moyz était nostalgique. Il regardait d'un œil attendrit ses compagnons de promenade gambader gaiement au sein du ring, fleuretant gentiment avec un tas de petits copains tous plus adorables les uns que les autres.

Très calins d'ailleurs. On sentait en eux une grosse envie de tendresse que ne semblait pouvoir combler la Topissime Djack's Team

AIE…

D'ailleurs, certains d'entres eux étaient…AIE…beaucoup trop affectifs avec Le Moyz qui aurait pu penser que, s'il était pas topissimement de bonne constitution,  ils lui en voulaient. Ce qui n'était pas logique puis que Le Moyz était totalement disponible à déverser tout un flot d'affection sans concession à…AIIIIIIIIIE… ses petits copains…

BORDEL DE GNU!!!!!!

FLOUTCH…

Le Moyz, d'un geste affectueusement projotesque, se décida à enrichir fortement la vie affective de sa tendre compagne succubesque qui, apparemment facilement contrariable, se transforma en petit de…trucs… vaguement fumant… Fortement moins jolie, mais incommensurablement moins caline.

Ca faisait du bien, Le Moyz commençait à avoir mal au crane de tout cet amour dispensé à grands coups de latte dans ta gueule.

Le Moyz commençait d'ailleurs par avoir un doute. Cela ressemblait plus un genre de combat plutôt qu'une grande friendparty, comme le lui avait aimablement expliqué le TTV…

Rapport au cadavre qui trainaient par terre, très certainement.

Il faut avouer que Le Moyz avait fait plein de copaincopainpartytime dans sa vie.

Mais généralement ces derniers finissaient torchés dans un coin de caverne, à poils sur une table en dansant la danse de la pluie du Djack. Parfois y avait il un petit combat gentillet ou l'on perdait une dent, voire une main.

Mais rarement on finissait coupé en suffisamment de morceaux pour envisager de se faire remonter façon TroolbiksKub.

Ou alors Le Moyz avait raté un truc.

D'un autre coté, il semblait aussi que les cris de ses compagnons ne soient pas forcément des cris de joies ou de satisfaction…

Rapport peut être à Gyzmotte qui courrait partout les bras en l'air, les poils de moustaches roussis par ses projos par toujours efficace, en criant "'TaindesatrolletteàsamamanOs'courO'scour, Y'en a plein qui veulent me boulotteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer"

Ou rapport à Maitre Max dont les yeux injectés de bonheur et la massue couleur framboisier périmé laissait à penser que le sourire plein de dents de son visage ressemblait plus à un genre de sadisme intéressé qu'autre chose…

Le Moyz l'entendait d'ailleurs proférer moults injures pleines de bonheur du genre "Vienzy raclure de gob, que je te défouraille la boite à digestion" ou "fils de Blork, j'vais t'faire couiner que quand tu seras mort, ou continuera à penser que tu es une boite à Meuh…" (Pas compris là, ce qu'était la boite à Meuh, mais Le Moyz préférait pas savoir)

De temps en temps il y avait bien un "Raaaaaaaaaaaaaaaah, massacre à MaitreMax!!!!!! Ca maxlaxe!!!! Ca Maxymise!!!! Ca Maxcarponne!!!! Oups… Désolé Aiola, pas fait exprès… Ca maxturbe à mooooooooooooooooort"

Ca semblait bien se passer…

AIE…

Décidément…

Le Moyz tourna la tête pour voir qui lui adressait ainsi une si aimable salutation…

OH YEAAAAAAH!!!!!

Ah… Une fourrure… un porte voix massif de pierre et d'os… Un coté swing avec une petite voix chantonnant gentiment faux. Ca ressemblait furieusement à un nécrochore, ca… Et un gros puisque le premier truc que regarda Le Moyz, a hauteur de ses yeux, ressemblait furieusement à un cone à deux boules dont la date de validité aurait expiré il y a quelques décennies…

Ce qu'il y avait plus haut ressemblait à une bouche pleine de dents avec de fortes envies de mordre dans un truc plus ou moins mou, mais bien vivant quoique pas tout à fait mort…

Un truc genre Le Moyz par exemple…

 

Euuuuuh Oh yeah aussi… lui répliqua le Moyz… Regarde là bas, y'a Bouskul Rock… Il est plus tendre…

 

ROOOOOOOOOOOCK N'TROOOOOOOOOOOOOOOOL!!!!!!! Le nécrochore avait comme une lueur dans les yeux qui laissait à penser que soit il n'avait pas compris la question. Soit il n'avait pas envie de la comprendre. Soit il s'en foutait totalement. Bref, ca paraissait pas cool.

 

Ouais mais quand même, mon ami…Euuuh… Nécro. Le Moyz n'est pas mort, regarde… Il bouge!!!! la topissitude ne meurt jamais !!!! Tu ne peux donc t'acharner sur Le Moyz. Par contre, Daft Willie lui, là bas, il est limite mur, hein? Non?

 

OOOOOOOOOOOOPTIIIIIIIIIIIC 2000000000000000000000!!!!!

 

Ah ouaich???  Ta mère aussi, elle fait des prestations gustatives avec des ours sur la banqu…

 

SPLOOOOOOTCH…

 

Ah…

Un verre dans la main. Un petit parasol dedans. un truc gros et froid à droite, et un tube d'ambre solaire à gauche.

Pas photo, Le Moyz était en pleine dégustation au soleil…

Y'avait des jours comme ça.

#. Message de GodRage le 21-12-2012 à 19:41
  [Ami de MountyHall] 		15217 - GodRage (Skrim 52)
- StriKe TeAm [Damnés] -
Pays: China  Inscrit le : 17-07-2003  Messages: 327 (Golem Costaud)   Citer Citer
Jolis récits!!!!
Mais maintenant que j'ai trouvé d'où venait le son qui sifflait dans mes oreilles, si je retrouve mon braquemart de kombat, je saurais où l'essuyer. ^^

#. Message de MoysylnOeil le 31-08-2016 à 11:24
  [Ami de MountyHall] 		39860 - Moyzyln'oeil (Tomawak 48)
Pays: Autre  Inscrit le : 15-07-2004  Messages: 2326 (Djinn Tonique)   Citer Citer
MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA...

LA TOPISSITUDE N'EST PAS MORTE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

TREMBLEZ!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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