Cette histoire fut contée la 1ère fois sur ma messagerie de guilde il y a de cela 3 Mundileys. Alors que notre jeune recru se plaignait de l'inactivité de la messagerie de guilde, je m'en vint lui raconter une histoire pour aider notre trollinet à vaincre insomnie. Cette histoire plu, qui l'eut cru? poil au cul. L'histoire se déroule en 4 parties. La première partie (contrairement aux suivantes) a été entièrement improvisée), elle est l'introduction, la moins amusante certainement. Mais l'histoire fit succès... d'ailleurs si elle avait été jugé nulle, ba je serais pas là à coté de ce feu à vous dire tout cela. Je vous conterez un chapitre chaque semaine (comme je l'ai fait en l'écrivant la 1ère fois). En espérant vous captivez et ...amusez vous!
Chapitre Premier
Z'étais
une fois un troll, qui avais toutes les qualités qu'un troll rêverait d'avoir:
il avait des gros pieds avec des mycoses dessus (trop la classe, il faut juste
se baisser pour grignoter), il était poilus comme un ours des cavernes, il
puait le rat crevé, une odeur qui ne laissait pas indifférente toute les
trollettes qui passaient à proximité, qui sentant cette odeur de fiente de
dindon fermentée se ruait sur les pieds de notre amis, mangeant son casse croûte
(les mycoses je rappelle)... d'ailleurs celui-ci n'appréciait guère qu'on
vienne lui manger l'herbe sous le nez et fracassa plus d'un crâne de trollette. Et bien entendu, une fois assommée ou
autre si coup plus percutant, notre ami n'hésitait pas à violer les trollettes.
Oui car notre cher ami, ignorait lui même qu'il représentait un sexe symbole,
et était persuadé qu'il ne pouvait s'accoupler avec une trollette autrement
qu'en la violant.
Mais vint un jour ou te cela lui sembla assez monotone, ou le
viole de trollette semblât le désintéresser totalement. A ce moment là passa
Kyl...* un gowap apprivoisé. Le gowap apprivoisé broutait bien paisiblement les
rares pâturages des cavernes et avançait tête baissée. Ceci n'échappa à notre ami
troll, celui arracha une stalagmite et se cura les dents avec tout en observant
le gowap... Quand soudain, le gowap releva la tête et poussa un cri strident lâchant
alors toute l'herbe qu'il mâchait. Notre ami troll était déjà derrière le gowap
et avais déja agit...le gowap partis avec entre les fesses un stalagmite géant.
(DLA + 90min je rappelle). Quelques coups de butoir plus tard, notre ami troll
récupéra son Stalagmite avec au bout un magnifique cucul de gowap. Hummm, il
s'en lécha les babines et grignota son repas en le savourant le plus possible.
Parce que si il y a bien une chose que les trolls apprécie plus que de violer une
trollette c'est de créer de nouvelles recettes à manger.
* Kyl...: sous entendu Kyller (le gérant de notre guilde): une grosse brute... pour adapter l'histoire au hall, hummm... remplacez Kyl...par Tutti...
Chapitre 2
Notre
ami Troll venait donc de goûter aux joies culinaires, et avait hâte de
recommencer cette savoureuse expérience. Il se mit donc a pister des gowaps,
procédant de la même manière car il avait peur qu'en faisant autrement, le met
n'aurait plus le même goût. Ainsi, la population de gowap diminuait de jours en
jours, et de nombreux trolls s'en inquiétaient. Qu'arrivaient-ils à leur gowap
que l'ont retrouvé sans leur partie postérieure? Et bientôt dans la région un
bruit courait qu'il y avait un monstre mystérieux qui mangeait les cuculs de
Gowaps. On le surnomma le "voleur de cuculs de gowap".
Le
voleur de cucul de gowap ignorait tout de cela. Il n'avait pas conscience du
désordre qu'il créait et continuait ses expériences culinaires, et comme le
cucul de gowap ne semblait lui déplaire, il continua encore et encore à pister
des gowaps. Et au 7° jour, le voleur de cucul eu une idée: pourquoi ne pas se
servir de son talent de cuisinier pour séduire des trollettes? Oh l'idée était
bonne, et il alla sur le coup pister un gowap.
Au
détour d’une grotte, le gowap 1499638 tirait sur une mini gousse d’herbe, il
avait l’air de se débattre pour ses quelques brindilles. Trop occupait à
essayer de manger, le gowap 1499638 ne vu pas le voleur de cucul de gowap et se
vu bientôt empaler par l’organe reproducteur du voleur de cucul de gowap. Celui
poussa un cri strident et lâcha les quelques brindilles qu’il était parvenu à
arracher. Le gowap 1499638 ne pouvant voir ce qui lui était arrivé dans
l’arrière train pris peur et se mit à galoper, traînant le voleur de cucul de
gowap par le bout de la queue. Celui-ci, moins tendu fini par lâcher prise et
s’écroula de tout son long sur le sol…il en va de soi, la technique n’était pas
la même que pour empaler un gowap avec un stalagmite. Il fallait tout
simplement mettre quelques CdB et agir après. Si tôt pensé, si tôt fait. Le
voleur de cucul de gowap découpa le plus soigneusement possible le cucul de
gowap et le déposa sur son organe tendu en prenant comme modèle le cucul autour
du stalagmite.
Maintenant
que le plus dur était fait, est-ce que le leurre allait marcher ? La 1ère
trollette ne mit pas longtemps à se montrer, à voir sa silhouette et sa manière
de pister, il s’agissait d’une kastarde au moins LV30. Celle-ci repéra le
voleur de cucul de gowap et se jeta sur ses pieds pour absorber les mycoses. Le
voleur de cucul de gowap désespérait leva son gourdin pour assommer la
trollette, puis retint son coup et décida au dernier moment de montrer à la
trollette le cucul de gowap du bout des doigts. La Trollette ne mis pas
longtemps à comprendre, et envoya un grand coup de dent dans le cucul de gowap,
arrachant un bout du prépuce. Le voleur de cucul de gowap lâcha un cri que l’on
entendit sur plusieurs dizaines de cavernes à la ronde. La Kastarde LV30 croyant
à un jouissement (certes un peu barbare) referma sa mâchoire une seconde fois
sur le gland du voleur de cucul de gowap et lui vampirisa quelques PV. Le
voleur de cucul de gowap en contrôlant tout ses gestes pris le dessus sur la
douleur et fracassa le crâne de la Kastarde LV30.
Il n’y a vraiment que des Kastarde pour ne rien comprendre à la cuisine
!
Chapitre 3
Les
jours s’écoulés, et les vers nettoyer la plaie. Notre ami troll le voleur de
cucul de gowap n’attirer plus les trollettes, ou les rares qui se présentaient,
partaient aussi tôt en courant dés qu’elles apercevaient la croûte irrégulière
suintante et légèrement décollée qui avait remplacé le gland, il faut dire que
l’organe avait perdu la moitié de sa taille. Depuis ce fameux jour, la vie
était différente, la chasse par exemple, la DLA n’était plus aussi courte et les monstres lui
échappaient tout le temps. En fait le voleur de cucul de gowap avait pris
l’habitude de ramasser les dépouilles des corps pour s’en nourrir. La dernière
fois, il avait mangé la langue d’un goblours, maigre repas d'une saveur immonde.
Il avait décidé de ne plus identifié ce qu’il mangé (ça valait mieux). Certains
trolls avaient fini par remarquer le voleur de cucul de gowap (sans savoir
qu’il s’agissait du voleur en question) et lors des repas festif, les grands
racontaient aux trollinets l’histoire du troll charognard qu’on avait surpris
en train de manger une paire de sandale. Les grands trolls disaient qu’il ne
fallait jamais sans approcher et qu’il ne fallait jamais regarder le troll
charognard sinon il vous mangé tout cru.
Un
jour où la faim le tiraillait, le troll charognard s’était glissé jusqu’au beau
milieu d’une bagarre dépouillant les corps et mangeant tout ce qui était
possible. Une jeune Duracuir, seule rescapée de cet accrochage repéra le troll
charognard alors qu’elle ramassait son butin. Elle leva son espadon en
direction du troll charognard. Et elle aperçu un pauvre troll, avec entre les
dents un morceau d’une rondache en bois. Elle lu dans son regard une vie
terrible et décida d’abréger ces
souffrances en lui donnant un coup fatal. Le troll charognard lui implora la
pitié en vidant sa bouche et ses poches de tout ce qu’il avait pu ramassé sur
le champs de bataille. La duracuir s’approcha doucement, et en se penchant vu
les mycoses, elle s’approcha et tomba nez à nez avec le bout de chair pustuleux
à moitié rongé par les vers. Elle le pris entre les mains, le serra très fort
et se concentra. La croûte sauta laissant échappé un liquide jaunâtre et puant,
le pue emporta avec lui les vers et un peu de sang. Le Troll charognard se réveilla quelques
minutes plus tard, à quatre pattes, il mit un moment à reprendre ses esprits et
à se relever. Son gland était redevenu gland !! Mais ils n’avaient plus de
mycoses. Et ça l’embêtait bien, il fallait attendre une semaine avant de revoir
les 1ères. Il jeta un regard autour de lui, il n’y avait rien de vivant,
mais ils pouvaient remarcher comme avant et s’en alla de si tôt chasser.
Chapitre 4
Et notre ami troll, le voleur de cucul de gowap et
charognard gambadait. La vie avait retrouvé son origine. La chasse battait son
plein. Les mycoses fleurissaient… Et le troll charognard donnait
de l’importance à la moindre des choses, il s’intéressait comme jamais il
ne l’aurait fait au plus petit des détails. Ceci était la cause même de cet
accident, la vie lui semblait désormais si éphémère. Et ce qu’il l’émerveillait
le plus, c’était le sang, la facilitait de dessiner avec, le goût qu’il vous
donnez, ce fondant si délicieux. Il aimait se rouler dedans, et avait finit par
en être entièrement recouvert. Les autres trolls ne comprenaient pas, un Troll
c’est vert, parfois gris… mais ce qu’ils voyaient n’était pas de coutume. Ce
troll était bel et bien rouge. Un troll rouge… Le troll rouge pour ceux qui
l’avaient vu. Et bientôt on appela notre ami troll, le voleur de cucul de gowap
et charognard : le Troll rouge.
Le troll Rouge était tout rouge sauf de la paume des
mains car celles-ci lui servaient sans cesse et le sang finissait par se
déposer ailleurs. On pouvait même apercevoir sur une de ses mains une tache de
naissance en forme de croissant. Et alors que le troll rouge s’attardait à
regarder un minerai de flashy, une odeur familière lui chatouilla les narines.
Oui, il la reconnaissait bien, l’odeur de cette jeune duracuir qui lui avait
revitalisé son corps par le bout. Le Troll rouge se mit à pister, à gauche, à
droite… se rapprocha…et enfin il finit par la retrouver…mais malheureusement la
jeune duracuir était allongée sur le sol sans le moindre soupçon de vie. Sa
position à quatre pattes, la tête par terre, l’espadon au bout du bras passé
entre les jambes émoustilla le Troll rouge. Il enleva le bras de la jeune
duracuir, elle devait avoir 15 mouches de moins que lui, elle aurait pu être sa
fille, mais peu importe maintenant, cela n’avait plus d’importance vu qu’elle
était morte… et il l’a bourra. Tout en se soulageant il pouvait grignoter ses
mycoses, car la jeune duracuir avait elle aussi des mycoses et le Troll rouge
les trouver délicieuses. Après ce somptueux instant, le Troll rouge se baissa
pour ramasser l’espadon de la duracuir. Il lui pris la main écarta ses doigts,
l’espadon tomba laissant entr’apercevoir sur la main de la jeune duracuir une
tache de naissance en forme de croissant. Oops
The end
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